
Robe très foncée, presque noire. Arômes de confiture de mûre et de cassis, avec une pointe chocolatée, un peu brûlée. En bouche, mâche de fruits noirs très douce, intense, mais un peu écœurante aux deuxième verre (la trame d’acidité est moins présente que dans d’autres millésime que j’ai dégustés dans le passé). Finale longue qui prolonge ce Majella généreux mais moins réussi que, par exemple, le 2005.
Note: 23/30
Bu avec Gyu-don